Après une agréable
soirée Longueur d’Ondes au Pan Piper le lundi 29 juin avec Catherine (en stage de dessin à Paris) où nous avons écouté 3 minutes sur mer
(bof) et ROBI (excellente), un succulent dîner chinois mercredi 1er juillet en compagnie
de Frédérique (au GUO MIN, 39 rue de Belleville), je
fêtais, samedi 4 juillet 2015, le début de mes vacances bien méritées
en me rendant au festival de la Ferme
Électrique, à Tournan-en-Brie (77),
comme l’an passé d’ailleurs.
Le temps est
toujours caniculaire, je ne me lasse pas de cette chaleur qui me convient
parfaitement. C’est la sixième édition de cet événement rock’n’roll,
doux-dingue et éclectique, qui a débuté le vendredi 3 juillet avec Chassol, Aquaserge, Jean-Louis Costes &
Fantazio pour les plus connus.
J’arrive juste pour Sofia Bolt et son rock américain 90’s
et féminin, j’enchaîne sur le duo italien Fumo
Nero et sa coldwave synthétique, puis sur le trio liverpuldien de choc
(deux batteries et des synthés) Barberos,
avant d’aller danser sur le punk parisien du trio Pierre & Bastien.
Je m’accorde une
petite pause au soleil (les concerts se passent alternativement dans une
grange, puis dans l’autre) avant de me placer devant la scène pour Charles de Goal. Je retrouve Pascale, l’amie de Thierry, et fais la connaissance de Nathalie, venue de Picardie.
Nous passerons le
set toutes les trois ensemble, set mené tambour battant, sans temps mort, dans
l’urgence (pas le temps de s’attarder comme au Point Éphémère), énergique et
vivifiant.
Charles de Goal
n’a pas dit son dernier mot, en voilà une bonne nouvelle ; le groupe sera
en concert le 28 novembre en Allemagne (Aix-la-Chapelle) puis à Paris (Petit Bain)
le 6 décembre (avec Guerre Froide et Little Nemo). Le (double) nouvel album
« Mobilisation » devrait sortir dans cette période.
Sur le synth punk de
Taulard (Grenoble), le public se
déchaîne, pogote et se jette à tout va. L’élégance art punk de Peter Kernel (Suisse/Canada) calme un
peu le jeu, Le Prince Harry, trio originaire
de Liège, remet le couvert avec force synthés et guitares, Steeple Remove (Rouen) s’infiltre dans la brèche et continue sur la
lancée.
Il fait nuit
maintenant, mais toujours bien chaud ; je renonce à la performance de
l’Américain Mother Fakir et au space
rock britannique de The Telescopes,
pour rentrer tranquillement chez moi et retrouver mes chats.
Mais, tout de même,
entre tous ces concerts furieux, j’aurai bien déambulé dans le site du
festival, apprécié sa déco, ses expos, acheté pour 5 € le CD « Expositions, Tribute to Charles de
Goal » aux reprises bluffantes et, bien sûr, pris un nombre
incalculable de photos.
J’aurai découvert
mon portrait, en noir et blanc, réalisé l’an dernier dans le photomaton
déglingué (j’ai récidivé cette année) et affiché avec plein d’autres, quelle
surprise !
Tout à l’heure, déjà
dimanche, j’irai retrouver ma famille en Champagne puis, mardi matin, cap sur
Amsterdam, où j’ai d’ores et déjà rendez-vous avec Catherine au théâtre
Bellevue, pour un spectacle de vidéo danse nommé « Deep Dish ».
Vivent les vacances !
À lire
aussi :
La Ferme Électrique
2014
Charles de Goal au
Point Éphémère
Photos première partie : concerts, spectateurs-trices
Photos deuxième partie :
décors, expos, déco
Cliquer sur
la première photo pour ouvrir le diaporama.
PREMIÈRE PARTIE
Sofia Bolt
Fumo Nero
Barberos
Pierre & Bastien
Charles de Goal
Taulard
Peter Kernel
Le Prince Harry
Steeple Remove
DEUXIÈME PARTIE
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